Siemens avait déjà abandonné le secteur des semi-conducteurs en 2000, avec la cession en Bourse de son activité de semi-conducteurs Infineon. La débâcle de la bulle de la 3G l’avait ensuite conduit à vendre son activité de terminaux mobiles au Taiwanais BenQ en 2005, et à fusionner ses activités de réseau avec celles de Nokia en 2006 : Nokia lui rachètera les 49,9 % de Nokia-Siemens Networks sept ans plus tard. Siemens s’est enfin délesté en 2010, de son activité de services informatiques revendue à Atos.