Cette incapacité, liée notamment au recours à la sous-traitance pour le développement logiciel, est très justement analysée par Jean-Marie Hullot dans une intervention à l’INRIA. C’est elle qui conduisit Microsoft et Apple à développer leur propre architecture de synchronisation, et ce dernier à l’implémenter ultimement dans l’iPod puis l’iPhone. Vidéo :