La revente d’Orange était autant attendue que nécessaire ; elle ne fut cependant pas la seule. Pour financer notamment l’acquisition de ses licences 3G, Vodafone dépeça Mannesmann. Mi-avril 2000, ses activités d’ingénierie et de composants automobiles (Atecs) furent vendues à Siemens et Bosch. Les activités fixes, que Vodafone s’était pourtant explicitement engagé à ne pas vendre, furent ensuite cédées (Infostrada, Ipulsys) ou mises en Bourse (Arcor).