SpinVox faisait miroiter aux opérateurs télécom la promesse d’une transformation automatique de (presque) tous les messages vocaux en SMS. Le diable résidait dans les détails de la définition de ce « presque » : certains de ces des messages étaient transcrits par des humains. Toute la valeur du service et son modèle économique reposaient donc sur un seul chiffre, qui s’avéra faux.