Le recentrage sur les métiers de réseaux mobile avec le rachat consécutif des activités d’équipementier de Motorola, de Siemens puis de l’ex fleuron français Alcatel-Lucent, s’avéra difficile avec notamment, en France, quatre plans de suppression d’emplois en quatre ans, le dernier concernant un tiers des effectifs restants. Seul le déploiement de la 5G, avec l’aide du boycott de Huawei, et l’exploitation de son portefeuille de brevets permit à Nokia Networks, (re)devenu Nokia, de réussir son retour en scène.