Les mémoires « cache » de niveaux 1 et 2 (L1 et L2), la mémoire vive (RAM), la mémoire de masse interne comme externe : disque dur, disquettes et disques amovibles, plus tard clés USB et cartes mémoire. On y ajoutera, pour les ordinateurs, les supports dits « de masse » comme les bandes, les CD-ROM, puis les DVD qui permettent d’écrire une fois puis de lire uniquement des quantités « considérables » de données. Ces mémoires sont, dans des proportions significatives, de moins en moins rapides et de capacité croissante à mesure qu’on s’éloigne du processeur. Tout est affaire d’arbitrage entre stock et flux, notion structurante qui se retrouve encore aujourd’hui dans tous les sujets de déploiement.